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Elle, c’est « la parisienne » et toute femme dont l’élégance naturelle est innée. C’est à elles que Lancel dédie le L, à cette façon qu’elles ont d’être chic sans effort. Essence même du L, ce « presque rien » est ce qu’exprime à travers ce sac néo-classique la maison de maroquinerie fondée en 1876. A l’origine du L, un modèle vintage des années 1970, un sac simple, intemporel. Porté par des figures légendaires : Anouk Aimé, Jackie Kennedy, Jacqueline Bisset, Charlotte Rampling…
Le L inaugure un retour aux fondamentaux, aux sources de l’allure, au chic résolument parisien qui fait vaciller sur son socle, un sac jugé trop bling bling le fameux « it bag » avec logo ou monogramme.
Travaillé dans un veau lisse provenant des meilleures tanneries italiennes ou dans des cuirs précieux comme l’autruche, l’anguille, le serpent de rivière, le L recèle des détails discrets. Il se dit que seules les connaissent celles qui les portent… comme cette pochette amovible cachée dans l’épure des lignes du L, véritable clin d’œil aux sacs à malices créés il y a 100 ans par Angèle Lancel à la Belle Epoque.
En version « small » le petit L de Lancel affiche un ton bon chic bon genre, avec sa bandoulière allongée au maximum très années 70, son rabat aux fermoirs de métal en forme de L à chaque angle, signe discret de son appartenance à la maison Lancel. En version XL, le grand format affiche une allure intemporelle et smart dont la signalétique sobre affirme sans l’imposer l’identité du sac.
Du chic sans ostentation, « un luxe qui se chuchote » affirme la maison de maroquinerie qui s’inscrit en droite ligne dans la nouvelle tendance de l’élégance. L’allure…
Plus d’informations sur www.lancel.com
Crédit Photos : Lancel
